Thursday, December 07, 2006

Encore un peu parce que je n'en ai jamais assez


C'est vraiment un tout petit bout de chou quand même!!! Vous avez vu ses petits peids croisés!!!!




Voilà une crevette bien repue et bien installée...









Euh... tu peux répéter je suis pas sûre de comprendre. Aaaahhh tu chantes!!!





Pfff! Si petite est déjà voleuse! C'est mon pyjama! Je le jure! Je peux même trouver des photos pour le prouver!!!




la toute petite Lola-Rose. Elle a tout juste 1 heure!

Wednesday, December 06, 2006

Quand le chat n'est pas la, les souris dansent

J'ai réalisé aujourd'hui à quel point ce dicton est vrai!!!!!!!!! Les boss sont à la foir de Miami pour la semaine. Résultat: tout le monde ce qu'il a à faire une clope au besc (strictement interdit) et une binouse à la main... Tout le monde arrive plus tard et repart plutôt.
J'ADORE CE JOB!!!!!!!!!!!!!!!!

Systeme D

Le périple d'hier soir vaut le détour... Hier, je suis allée acheter des planches pour un vieux lit que j'ai dans mon salon (bon je ne vais vous expliquer pourquoi il fallait des planches ce serait bien trop long). Ce lit est un lit en fer forgé rose (no comment) et fait 185x86. Facile pour trouver des matelas etc... Bref, je suis donc partie ches Bauhaus (l'équivalent de Casto en bien moins cher) et j'ai fait couper des planches. 7 planches. 7 planches coupées en plusieurs morceaux. 7 planches en bois plein. 7 planches bien lourdes! J'étais avec ma maman. Mais ma maman c'est fait super mal au dos et moi, mes genoux ont décidés de ma lacher chaque jour un peu plus. Mais en tant que femmes vaillantes, nous décidon de prendre sous le bras plutôt que d'attendre pendant une heure le retour de Thomaspierre. On se bat donc avec nos planches quelque peu encombrantes dans la rue jusqu'au moment où ... ... ... ... ... ... ... je découvre une chaise à roulette abandonnée. Ma maman est moi échangons un bref regard et déposons toutes les planches sur la chaise sans dossier (bien pratique). Je décide donc que je préfère me pêter le dos à pousser des planches sur une chaise pliée en deux plutôt que de me pêter les bras et les genous. Seulement il y a souvent des raisons pour laquelle on abandonne des meubles dans la rue! A premier abord on dirait: 'plus de dossier plus pratique'. Mais cette chaise avait un défaut caché: elle ne roulait pas droit. Rien à faire, j'ai zigzagué sur toute la largeure du trotoir (heureusement large) à la vue de tous les passants qui me prennait pour une folle et surtout avaient peur de se faire embrocher.

Première chute, premier bleu sur le tibia droit. La chiase n'a pas réussie à surmonter un petit obstacle de rien du tout et s'est renversée faisant chuter dans un grand fracas mes belles planches en bois et m'envoyant une de ses roulettes bien au milieu du tibia (vous savez là où ça fait bien mal). Mais je décide de perserver sous le regard quelque peu perplexe de ma maman qui cette ne fois en est certaine: sa fille est folle. Deuxième chute, deuxième bleu sur le tibia gauche. Même scénario. Ma mère décide d'abandonner la chaise, je lui soutiens que c'est bien plus facile avec la chaise. Ma maman me regarde dubitative et me rappelle que je ne fais que zigzager dans tous les sens évitant de justesse les arbres et ses giboles. Mais je suis têtue. Troisième chute... J'en ai ras le bol, envoie la foutue chaise ballader qui n'a pas compris que j'étais son dernier espoir d'avoir une utilité quelconque! Fâchée je l'abandonne à son triste sort!

(pour info le trajet entre Bauhaus et chez moi ne dure qu'une dizaine de minutes (12 ou 13 pour exacte;))... Et j'ai laché la chaise à quelques mètres de chez moi.)

Tuesday, December 05, 2006

Plutot deux fois qu'une!

Juste un tout petit message pour vous dire que je rentrerai également du 23 au 26 février!!! Je viens pour un tout petit truc de buisness à régler, mais ça devrait me prendre environ 2 ou 3 heures le samedi ou le dimanche alors tenez vous prêts pour faire la java le vendredi et le samedi de jour comme de nuit!!!!

Monday, December 04, 2006

Il y a un peu plus d'un mois j'ai decide de m'aimer (ou le secret de ma nouvelle serenite)

Comme promis voici la suite de mon post Lola-Rose et le célibat.

Comme je le disais, il y a quelques temps j'ai décidé de m'aimer. Ce n'est pas si évdent mais ça marche. J'ai réfléchi en long et en large et je me suis rendue compte que j'étais pas si mal comme nana. Mais surtout, je me suis rendue compte que je correspondait à ce que je voulais être (enfin presque). Alors j'ai fait la liste de mes défauts (et croyez moi c'est plutôt flippant - ben oué faut se regarder en face quoi!) et j'ai décidé que je pouvais vivre avec. Bien sûr que je vais tenter d'améliorer ceux que je peux, mais quelques névroses c'est nécessaire quand même. J'ai décidé d'arrêter de vouloir être parfaite. Je ne suis pas si mal comme ça!

Quoi qu'il en soit, je suis métamorphosée (en tout cas à l'intérieur, parce que je ne suis pas franchement sûre que ça voit à l'extérieur). La voilà la source de ma nouvelle combativité, de ma nouvelle sérénité. Alors quand je perds pieds et que je voudrais pouvoir m'appuyer un peu sur quelqu'un, je me pose, je me regarde dans le blanc du miroir et je me dis: "Hey! T'es pas malheureuse ma fille! Regarde, t'es dans la ville que tu as choisi, t'as une petite crevette à laquelle il faudra apprendre pleins de trucs pour embêter ses parents, t'as deux boulots supers, t'es une meuf bien, il fait beau et ton chat te fait des calins tous les jours!"

En fait le truc c'est ça: ne jamais oublier que même si on a le cafard, on est pas malheureux. Fondamentalement tout va bien et ça ce qui compte! Alors le blues, le cafard, le ras-le-bol, le trop plein, le mescopsellessonttroploin et le célibat, on le surmonte, on le laisse glisser sur soi, on le sens passer, mais on ne s'y attarde pas trop et surtout surtout on le prend pas trop au sérieux!

Friday, December 01, 2006

Lola-Rose et le celibat

J'ai tranquillement regardé Lola-Rose dormir dans son landeau. Enfin dormir pas vraiment. Elle était plongée en pleine contemplation de je ne sais trop quoi, une des ses petites mains - au si longs doigts - fermée en poing et posée contre sa petite bouche et l'autre main dont elle se servait pour se caresser la tete. Puis un baillement a se decrocher la machoîre! Et là, l'inévitable rêveil accompagné d'un premier petit cri, puis de petites larmes sincères, et enfin de la crispation de tout son petit corps. Plus d'autre choix, la pauvre petite Lola-Rose de 5 tout petits jours doit sortir de son landeau. Je la prends donc dans mes bras avant qu'elle ne réveille sa maman qui en a profite pour essayer de dormir un peu. Mais la maman au premier cri a été allertée et sort déjà de la chambre. Rassurée de la voir dans mes bras elle me demande de lui porter Lola-Rose dans son lit si elle ne se calme pas. Lola-Rose et moi entreprenons donc une petite ballade a travers l'appartement. Pendant quelques instants mes mots semblent la bercer, puis l'appel de la faim est plus fort que sa curiosité. Elle se tord dans tous les sens toute tendue en l'espace de 2 toutes petites minutes. Je suis donc la consigne et l'ammène à sa maman. Et là se produit ce petit miracle qui me laisse chaque fois perplexe: à peine entre les mains de sa maman plus un bruit. Une parole réconfortante de sa maman et toutes deux se rendorment ensemble.

C'est là que j'ai compris. J'ai courrue aux toilettes et je me suis effondrée. J'ai pleuré. Beaucoup. Quand j'étais petite moi aussi je me réfugiait dans les bras de ma maman. Puis adolescente je me réfugiait contre son coeur pour que celui ci de son battement régulier appaise mon chagrin d'amour. Puis ce sont les hommes qui m'ont rassurée. Pas n'importe quel homme. Seulement deux ou trois de ceux avec lesquels je suis sortie. C'est là que j'ai compris qu'en fait toute sa vie on tente de reproduire ce sentiment de sécurité que nous donne les mamans. Cette chaleur, ce coeur qui bat plus doucement que le votre, ces paroles douces qui rassurent, cette appaisement quand on est triste, tout cela, on le cherche! Et c'est ça pour moi le plus dur dans le célibat: parfois je ne me sens plus en sécurité et je ne sais plus vers qui me tourner. Je n'ai pas peur de me faire aggresser. Non, il ne s'agit pas de ça. Il s'agit de pouvoir puiser dans la sérénité de quelqu'un quand la sienne est un peu ebranlée. Ce n'est pas si dur de devoir faire face aux problèmes de la vie quotidienne seule. Ce qui est dur c'est de parfois voir sa sérénité se craquelér et de n'avoir personne qui puisse la rassurer.

Mais vous savez quoi je suis heureuse en ce moment. Heureuse d'une façon plus fondamentale qu'avant. Un bonheur qui n'empêche pas les craquelages, mais une entente si profonde avec moi même que je me sens de faire face a biens de choses. Et cela seule. Alors je ne dis pas que tout cela est inebranlable et que je n'ai pas hate de trouver chaussure à mon pied, mais quand ma sérénité est un peu endommagée, je mets bien moins de temps qu'auparavant pour la panser. Je vous livrerai mon secret dans un prochain post, parce que ma petite Lola-Rose va bientôt resortir de son concon et je vais devoir m'occuper un peu de sa maman!